Marche dans la Nuit...

Orlynizogalagas aimait la Forêt; comme pas mal d'Elfes. Mais surtout, il l'aimait la Nuit, quand ce monde semblait changer, devenir plus mysterieux et plus sauvage, recouvert pas l'Ombre des Ténèbres. L'Elfe marchait dans la Nuit, suivant le chemin qu'il avait emprinté au matin. Il avait posé plusieurs colets, dont les deux premiers étaient vide. C'était pas chouette, attendre une journé en esperant trouver un ou deus lapins le soir pour decouvrir des pièges vide. L'Elfe leva la tête, au travers du feuillage, un éclair noir et arenté sous les reflets de la lune passa en filant dans un bruit d'ailes. Orly sourit; Zotz chassait.

Je chassait, mon Elfe était quelque par en dessous de moi, cherchant ses bouts de ficelles vide. Mon pelage brun et noir prenait des reflet brillant avec la Lune et les Etoiles. C'était beau, mais j'avais l'impressin d'étre trop visible. J'étais peut étre presque aussi grand que les hiboux, mais quelques coup de serres pouvait suffire pour me lécerer les membranes qui me servaient d'ailes. Et je ne penses pas que je volerais bien si ça arrivait. Je file dans les branchages, me gudant plus avec mon sonar que ma vue. Une boule de poil m'apparait perchait devant un petit trou circulaire dans le tron d'un arbre. Un écureuil? Je fonçe, griffes en avant et gueule ouverte, les ailes en arrière pour me ralentir comme y faut. Le petite bestiole n'eu pas le temps de bouger, elle se heurte à moi et tombe sur le sol.

Vadalia était encore réveillée à une heure tardive dans la nuit, ce qui n'était pas vraiment son habitude, vu qu'elle n'y voyait pas aussi bien que le jour, et que c'était quand même vachement énervant de ne pas savoir avec précision où on met les pieds !

Mais n'empêche, elle avait eut raison de se ballader à cette heure-ci ! elle avait trouver deux petits pièges assez basiques dans lesquels il y avait en tout et pour tout deux lapins. Elle les avait chiper sans réfléchir sur le moment, puis elle s'était quand même dit que c'était pas très sympa pour la personne qui avait posé les pièges.

En pleine réflexion, elle s'était arrêtée le regard vague, hésitant à ramener les lapins, ou à les garder, voire en laisser un et partir avec l'autre. elle soupira, elle ne pouvait quand même pas se résigner à voler ainsi un elfe, enfin, c'était sûrement un elfe.

Juste au moment où elle allait se retourner et revenir sur ses pas pour remettre, à regret, les lapins là où ils se trouvaient un truc tomba juste devant ses pieds, la faisant sursauter et tomber sur son fessier.

Je me ballade en compagnie de ma petite elfe, j'avais réussit à la convaincre de venir avec moi pour une ballade nocturne, lui affirmant qu'il ne lui arriverait rien, de toute façon, j'étais-là, et je veillais sur elle.

J'avais quand même du dialoguer pendant une longue demi-heure, trouvant des dizaines d'arguements pour contre-carré ceux que Vadalia utilisait pour essayer de ne pas venir. mais ma patience n'a pas été vaine ! me voilà donc, marchant silencieusement à ses côtés, le museau et la tête remplie de cette bonne odeur de lapins bien frais.

Des lapins que ma compagne de route et moi-même venions de trouver alors qu'ils étaient stupidement prisonnier d'un pièce que j'aurai qualifié de primitif. Enfin, du moment que ça fonctionne.

Je voyais bien à l'air songeur de la petite qu'elle n'était pas certaine de vouloir garder les lapins au prix d'avoir volé quelqu'un sur la conscience. Je pouvais comprendre ce sentiment, les humanoïdes qui manquent d'expériences ont souvent ce genre de pensées, qui, pour ma part, ne me sont jamais venues à l'esprit.

J'entends un bruit d'ailes qui bat l'air avec énergie, sûrement un hibou ou une chouette. Quoi que, après réflexion, je trouve que c'est plus proche du battement d'aile d'une chauve-souris. Je lève mon regard pour fixer Vadalia, elle semble ne pas avoir entendu, elle est trop plongée dans ses pensées.

Je ne prends pas la peine de l'avertir, après tout, une chauve-souris, ça ne peut pas faire grand-chose. Mais je n'avais pas prévu que celle-ci fasse tomber sa proie juste devant mon amie, et que la petit elfe sursaute et tombe de surprise. Voilà que ma petit elfe se retrouve dans une position bien peu enviable. je la connais, je sais qu'elle risque de s'énerver, mais peut-on vraiment en vouloir à cette petite chauve-souris ?

Je n'ai pas le temps de frener completement, et je fait une galipette dans les airs en me cognant aux branchettes avant de me stabiliser. je ne sais pas si l'ecureuil l'a fait exprès, mais j'ai mal aux ailes et je crois que le bas d'un de mes pants de membranes est perçé, l'air me mords à cet endroit, en traversans ma peau. je sais que la membrane peut repousser, mais mon vol est un peu plus maladroit. je retrouve le creux de mon rongeur, et pique vers le sol pour le retrouver. Je stope si brusquemant que je crois pendant un instant que mais ailes vont casser net, comme des bouts de pailles séches. Il y a, à moins d'un métre sous moi, une panthère noir comme la nuit, avec une elfe assie part terre, aux milieux des feuilles. Ce n'est pas la même sorte d'elfe que le mien, la couleurs n'est pas bonne. Orly a moins de couleurs. Mais ce qui m'inquiète, c'est surtout la panthère, même si je vole, il suffit qu'elle saute et... Et je crois que je n'aurais plus a me plaindre d'avoir un petit trou dans une aile. Si j'aurais encore des ailes pour les trouées ou une bouche pour me plaindre.

Orlyni trouva, à moitier dans les buissons, une autre colet, vide aussi. Il aller se relever quand il vit une petite touffe de poil brun accroché dans le neud coulant. Deux possibilitées. Un lapin s'était prit dans le piège, mais pas sufisamant et avait réussi à s'echaper. Ou alors... Ou alors quelqu'un d'autre avait passé un peu plus tôt, et avait ramassait tout ce qui y avait. L'elfe de la nuit de releva, scrutant le ciel aux travers des branchages. CamaZotz avait peut étre vu quelque chose, de la haut ? saufe si son voleur n'était plus dans les parage, ce qui était probable.

Vadalia se releva avec autant de dignité que lui permettait sa position délicate. Elle leva les yeux afin de trouver l'origine de la chute du rongeur, et aussi des battements d'ailes. elle perçut, grâce à son infravision, la chaleur émanant d'une forme qu'elle connaissait bien. C'était la morphologie d'une chauve-souris, quoi que, un peu plus grande que se qu'on trouvait habituellement dans les environs.

La petite elfe s'appretait à balancer des dizaines d'injures et de menaces à la figure de la petit bestiole volante. Mais elle se retint aux derniers moments, elle avait plus important ! Ramené les lapins ! Sa chère panthère noire s'occuperait de surveiller la chauve-souris...

Elle n'eut besoin que d'un bref regard pour que la panthère comprenne et asquiesce avec un hochement majestueux de sa sombre tête aux poils ras si noirs.

Notre petite elfe revint donc sur ses pas, avec la ferme intention de remettre les lapins dans les pièges. Quand soudain, elle s'immobilisa, elle avait perçu de la chaleur, celle d'un être vivant. elle déglutit et jeta un coup d'oeil pour mieux voir. C'était apparement une forme humanoïde qui... Qui regardait pour si les pièges avaient attrapé quelque chose !

Vadalia se rongea les ongles de nervosité, comment expliquer son geste ? Prenant son courage à deux mains, elle s'avança prudemment vers l'inconnu qui lui tournait le dos. Puis, de sa douce voix qu'elle voulait calme, mais qui tremblottait légèrement, elle l'interpella de la façon suivante

"Euh... Bonjo... Bonsoir ! Est-ce que ceci vous appartient ?" dit-elle en montrant bien les deux lapins.

Elle regretta vite son geste, si ça se trouve, il allait lui en vouloir à mort et elle serait dans de beaux draps, avec Rebelle qui surveillait une chauve-souris !

Je fixe ma petit elfe qui se relève avec le plus de dignité que lui avait permis sa posture. je la vois jeter un regard mauvais à l'auteur de toute cette agitation. Je lève la tête à mon tour et fixe la chauve-souris. elle a l'air blessée à l'aile, vu sa maladroite façon de tenir en l'air.

Je n'ai point encore chasser, et mon estomac crie famine. Me repaître de cette petite fauteuse de trouble ne me déplairait guère. Mais voilà, vadalia semble estimer qu'elle a plus important à faire que de disputer la petit bestiole volante. Et moi, je me dois de la surveiller jusqu'à son retour. je fais signe que j'ai comprit, et je m'assis sagement en fixant sur la petite bêbête un regard plein de gourmandise.

Je me recroqueville sur moi-même, je bande mes puissant muscles et je les détend que quelques secondes après. Ma cible, la chauve-souris, ce n'est point pour la manger, mais simplement pour la clouer au sol, et ainsi pouvoir la garder tout près. je n'ai pas d'autres solutions. quoi que la garder dans mon estomac me tente beaucoup.

Mon puissant bond me permet de percuter la chauve-souris en plein vol, hélas, j'ai mal visé, trop pressée de bondir dessus je n'ai pas bien calculée. Enfin au moins l'aurais-je sonné, avec un peu de chance, elle sera suffisament étourdie que pour chuter. Pour ma part réaterri en souplesse, prenant soin dele faire avec grâce et élégance. J'espère que j'arriverai à avoir cette chauve-souris, sans quoi, Vadalia me disputera et aura bien raison. Quelle honte se serait de ne pas savoir s'occuper d'une malheureuse bestiole dans le genre !

Orlyni releva les yeux du colet, ne s'entadant pas vraiment à qu'on l'appele. Surtout par une Haute Elfe brandisans deux lapins. Il lui fallut un moment pour comprendre ce qu'elle lui dissait, non pas parce qu'il n'avait pas l'habitude de croisser d'autres elfes, mais parce si il trouvait un jours des lapins dans la forêt, il n'irait pas rechercher le propriétaire du gibier.

"Si ils étaient dans des colets, oui."

Que pouvait-il dire d'autre? Son arc était restait à son petit campemant, ainsi que sa dague. Il n'avait pas pensé les prendre, puisqu'il n'avait prevu qu'une sortie nocture pour se preparer un repas à partir de pièges. Il detailla rapidement l'elfe du regard. Elle devaient avoir un peu près son âge pour les humains, mais sa connaisence en race d'hautes Elfe étaient trop limitée pour savoir combient de décénnies elle avait passé sur terre. Elle était blonde, avec une peau qui lui semblait plutôt pâle. Mais il avait entendut dire que certain elfe ressemblait plus ou moins physiquement aux Hommes.

La patte noir du grand félin frola mon crâne avec tellement de vitesse que je fait un tour sur moi même, ce qui est peu enviable en volant. J'ai mal à la tête, et le trou de mon aile n'arrange rien. Ma vison tangue, j'ai la tête qui tourne elle aussi. Je ferme les yeux, et enclenche mon sonar en poussant un cri suraigue, autant pour "voir" si la panthère à re-sauter que pour l'agacer si elle peu entendre le ultrasons. Normalment, les canins n'aime pas ça. J'ai l'impression de perdre de l'haltitude, mes bras ne veulent plus me faire remonter vers les étoiles. Y a un arbre, tout près, je m'incline dans sa direction. L'écorce ne semble pas vouloir que je m'accroche à elle, je trouve une prise ou me surpendre qu'après avoir glissé sur une dizaine de centimétres du tronc. Et j'enferme etroitement mon corps dans mes ailes. Je lance une onde là où je suposse où la panthère se trouve, je sais pas si je suis à porté de griffes, mais je retrousse mes lévres et crache entre mes dents. Je suis pas sur de pouvoir faire grand chose face à elle, mais les morsures de chauve souris de mon espece on dans leurs salive quelque chose qui enpêche le sang de coaguler avant lontemps, je crois. Mais la panthère risque juste de perdre du sang, mais moi, je peux perdre la vie.

Vadalia sentit ses muscles se décrisper quand elle entendit la réponse de l'elfe. Il ne semblait pas spécialement agressif. Surtout retardé, vu le temps qu'il avait mit à répondre. Mais on ne sait jamais avec les inconnus.

Elle avait été très bête de ne pas prendre ses rapières avec elle. La jeune elfe regrettait de ne pas les sentir appuyées contre ses jambes, ni de sentir leur poids sur sa ceinture.

Elle s'avança prudemment et tendit les lapins à leur propriétaire légitime. Vad' déglutit, il avait l'air de bien mieux voir la nuit qu'elle, ce qui la faisait se sentir toute petite, et lui enlevait toute envie de faire sa rebelle.

elle préférait plutôt courbé l'échine, enfin, tant que Rebelle ne serait pas à ses côtés bien sûr. Après, elle aurait tout le loisir de se redonner un peu de substence comme on dit.

"Je vous les rends, je trouverai autre chose pour me restaurer... J'espère..."

Elle attendit impatienment qu'il reprenne ses proies. elle avait hâte de quitter ses situations qui l'abaissait au rang de gentille petite elfe obéïssante. Elle n'avait envie que d'une chose, caresser la douce fourrure d'ébène de sa panthère, ce qui lui rendrait son assurance habituelle.

Les ultrasons que la chauve-souris émet pour voir ma position, et sûrement aussi pour m'agacer, me font atrocement mal aux oreilles, c'est un cris perçant que mes sensibles oreilles entendent suffisament fort que pour passer la limite du supportable.

Je secoua la tête dans un geste vain pour essayer se son qui me torture le crâne. Essayer de rester indifférent quand vous êtes à 30 centimètres d'un cloché d'une église dont on actionne la cloche, vous comprendrez relativement ce que je ressens en ce moment même.

Je lève ma tête dans un geste empli d'élégance comme le font si bien les individus de ma race. Je regarde l'effet de mon bond sur la chauve-souris. J'affiche un petit sourire de félin. Les débuts sont prometteurs !

Puis, mon sourire s'efface, la chauve-souris avait gardé suffisament ses esprits que pour réussir à se pende à une branche, elle le fit bien maladroitement, mais elle y parvint quand même. ce qui eut pour effet de faire monter un grognement menaçant de ma gorge.

Puis, un nouvel arrivage d'ultrasons ! Argh ! Ca me fait horriblement mal ! Je me concentre sur ma respiration, pour moins sentir la douleur occasionée par ce drôle de cri perçant qui monte haut dans les aigus.

J'essaye de me contrôler, pour ne pas laisser transparaitre ma souffrance. Le pire, c'est qu'elle l'avait fait deux fois de suite. Grrrr, elle allait me payer cet affront, de sa vie ! Mais pas tout de suite..

Je me recroqueville de rechef, Bande mes muscles afin d'effectuer un nouveau bond, dans le but de gravir les mètres sur le tronc d'arbre qui me sépare de ma pauvre cible. Je détends mes muscles et bondit. Je sors mes griffes et m'accroche solidement au tronc d'arbre.

Dans des gestes que je m'efforce de rendre élégant, je commence mon ascension en direction de la chauve-souris perchée sur cette branche qui était hors de ma portée... pour l'instant. car déjà, je me retrouve sur la branche qui ploye légèrement sous ma masse.

Je souris à nouveau. Cette fois-y, il y avait peu de chance qu'elle m'échappe. Je m'avance prudemment afin de m'assurer que la branche supporte bien mon poids. Mais je n'ai point de crainte à avoir de ce côté-là.

Je tends bientôt ma patte dans l'espoir de quérir la chauve-souris d'une façon relativement délicate, bien que mon ventre gargouille, je me retins, je dois la garder dans un état convenable. pourvu que mes griffes ne la blesse pas si j'arrive à l'atteindre.

Orly tendit la main et reprit les lapins. Il se sentait bête de les reprendre comme ça, tranquille et presque egoiste. Mais si l'elfe n'était pas tombée sur lui, elle les aurait gardés, non? Alors pourquoi ne les aurait-elle pas cachée en le voyant? Orly lui rendit une des prises.

"Garde le, il y en a asser."

Pourquoi il avait fait ça? Parceque s'il était à la place de l'elfe, il aurait bien aimé qu'on lui en repasse un. Et elle lui avait demandait si c'était bien les siens, elle lui avait rendu alors qu'elle aurait pu partir avec. Ce serait vraiment pas sympas de ne pas partager, même si ne doutait pas que la Haute Elfe aurait pu se debrouiller et s'en passer. Et il ne pourait pas manger deux lapins en une soirée, et après, manger de la viande datant de la veille... Ce serait du gaspillage. Même si elle les lui avaient vraiment volé, il aurait fait pareil, mais sans les rendres au premier venu.

Aïe aïe aïe! Mon très cher prédateur couleur de nuit à decidé de venir me rejoindre sur mon arbre perché. Je siffle. Pourquoi il n'a pas été manger l'ecureuil et me laisser tranquille? Je vois la patte qui m'a déjà à moitier assomé grimper vers moi, avec derrière le ventre qui southerait surment m'accueillir. C'est domage, je n'aime pas les ventres acceuillant. J'ouvre mes ailes en grand et herrise l'echine. Parfois, certains ont peur en croyant que l'on devient subitement plus gros. Je reflechit à tout vitesse; la panthère veux me manger, ou elle en a au moins l'air. Pour ça, elle monte dans mon arbre. Soit je le quitte pour m'en trouver un autre, mais je ne me sent pas encore près à redecoller, et mon aile perçé suinte et saigne doulouresement. Ou soit, je trouve en indroit ou il ne pourait pas me suivre, une branche plus fine, par exemple. Je lance une onde sonore au dessus de ma tête, qui me renvoie l'image du branchage entremêlé de l'arbre. Elles sont toutes très hautes, et un peu près la même hauteur. Jouant des griffes, je decroche l'une de mes pattes et me ragrippe deux ou trois centimétre plus haut. A cet allure, j'ai plus de chance de voir arriver la lune venir me sauver avec un grand sourire que pouvoir atteindre mon salut. C'est fou comme j'ai de la chance cette nuit. Et la papatte inquisitrice se raproche terriblement vite. Si elle vient, je la mords, tant pis pour elle.

Vadalia regarda l'elfe lui tendre un des deux lapins En lui disant qu'il aurait assez avec un lapin et qu'elle pouvait garder l'autre sans problème. prise au dépourvu, elle mit un temps avant de répondre. Elle n'avait pas pensé qu'il réagirait ainsi !

Puis, contrairement à ce que beaucoup d'elfe auraient pensés qu'elle ferait, elle se comporta en digne Haute Elfe. elle le prit comme une insulte à sa personne, comme si il sous-entendait qu'elle savait pas se débrouiller seule, même si, le geste de l'inconnu n'était pas méchant.

Elle serra les points, et crispa les muscles de sa mâchoire. avant de lâcher d'une voix plus assurée que la dernière fois.

"Dis que je suis pas capable de trouver à manger toute seule tant que tu y es ! J'ai pas besoin de ta pitié ! "

Elle lui tourna le dos dans un geste plein de rage et commença à s'éloigner à pas bien peu discrets. L'humeur furibonde. Avec un peu de chance l'elfe le prendrait pas trop mal, après tout, c'est une réaction typique des Hauts Elfes.

Je continue à tendre ma patte. La chauve-souris essaye de m'intimider en se faisant plus grosse. Mais moi, je ne suis pas une simple panthère, je suis le familier d'une Haute Elfe !

Je suis plus intelligente qu'une banale panthère noire, je sais que ça n'a pour but que d'essayer de me faire peur. mais , qu'est-ce qui serait moins banale q'un chasseur, douée d'une faculté de raisonnement digne d'un humanoïde, qui aurait peur de sa proie qui se contente de se "gonfler".

En réponse à cette provocation, je découvre mes crocs, hérisse mon échine à mon tour, et feule avec hargne. Je me demande pourquoi elle n'a pas encore changé d'arbre. peut-être saigne-t-elle de trop que pour effectuer ce déplacement ? Ca me parait plausible. Je m'arrête et hume l'air.

après quelques instant, mon odorat, particulièrement développé je vous en informe, détecte bel et bien une odeur de sang dans la direction de la petite bête volante que j'ai prit en chasse.

je m'assieds donc sur la branche, et continue à la fixer, simplement, abandonnant la poursuite. Si elle est blessée comme cela à l'aile, elle ne pourra pas fuir bien loin. Ma mission étant de la surveiller, on peut dire que j'ai maintenant très peu de chance qu'elle échoue.

Ah ! J'entends des bruits de pas, le genre de pas qu'on fait quand on est pas super content. Je baisse le regard et voit ma petite elfe revenir à grandes enjambées rageuses. Oula ! elle a pas l'air au meilleure de son humeur. Que s'est-il donc passé ?

Bah, ce n'est pas grave, j'ai mené à bien la mission qu'elle m'avait confiée, je peux être fière de moi ! j'espère juste que la mauvaise humeur de Vadalia ne va pas la faire devenir invivable...

je descends de l'arbre pour aller à sa rencontre prenant un air surprise. A vrai dire, j'aimerai quand même bien savoir la raison de cette énervement qu'elle n'avait pas avant de partir.

Orlyni, très étonné par l'éclat de colère si soudain de l'elfe, resta planté là. C'est vraiment surprenent. L'elfe de la Nuit lui avait proposé de garder un des lapins, et... Elle commençe à s'enerver en racontant qu'elle était bien capable de se débrouiller sans lui. Et voila, ce qu'on gagnait à essayer d'étre gentil avec les voleurs de lapins. Pourquoi avait-il fallut qu'il lui en propose?

" Je n'ai jamais dit ça! Et si tu es si maligne, pourquoi vole tu dans les piéges des autres?! "

Cria-t-il à la Haute Elfe, pour qu'elle puisse l'entendre. Ca avait été plus fort que lui, il fallait qu'il pose des questions pour tout savoir. Mais c'était vrais, quoi. Pour Orly, personne n'avait à réagir comme ça devant et pour un lapin mort. Il faut dire qu'il connaisait très peu le caractères des Hauts Elfes...

Mon gôlier, à ma grande et immense surprise, saute à terre après la réaparition de l'elfe toute clair, qui m'a l'air tout de même un peu plus rouge que tout à l'heure. La panthère n'a fimalment pas si faim? J'ai gagné la partie? Mon côté persimiste me rappel que je suis toujours plus ou moins coincé dans mon arbre, sans Orly, face à deux inconnus dont l'un aurait pu transformer mon avenir en passé d'un claquement de machoire. Mon côté optimiste me dit qu'au moins je suis encore vivant, pour l'instant. Au cas où, je remonte de quelques centimétres et entrepris de lécher le sang qui commençe à maculer ma fourrure brune et grise, tout en gardant un oeil et les deux oreilles sur l'elfe et sa panthère noir à l'estomac si acceuillant. Il faut bien l'avouer, je m'aime pas du tout cette situation; je suis bléssé, j'était presque à deux griffes de mourrire et je ne peut pas partir, ni par la voie des airs ou de la terre. Et je ne sais pas où est mon elfe qui me manque beaucoup en ce moment. Et pourquoi le félin m'a-t-il pas terminé ce qu'il avait commençé?

Je m'approche prudemment de ma petite elfe, elle a l'air vraiment furibonde, le sang lui monte à la tête et elle devient de plus en plus rouge à chaque secondes. C'est presque effrayant. Mais je ne recule pas, j'avance, de toute façon, je ne recule jamais.

Vadalia m'aperçoit et avance vers moi de sa démarche d'enragée, qui d'habitude est plus gracieuse et animale, un peu comme la mienne. Je fais encore deux ou trois pas, et voilà qu'elle s'accroupit juste en face de moi. Je me couche à côté d'elle, et elle semble se calmer un peu.

Elle me caresse pensivement, je me demande à quoi elle songe. Mais son esprit m'est fermé pour le moment. Je devrais attendre encore avant de le savoir.

En attendant, je ronronne tranquillement sous la douceur des caresses. Je ferme les yeux et m'allonge sur le flanc. Je soulève ma queue de temps en temps tel un chat qui montre son contentement. Mais je suis inquiète quand même. Je n'aime pas voir la petite revenir comme ça. Il sait peut-être passé quelque chose qu'elle regretterait encore une fois, et elle aurait sûrement encore des remords pendant un long moment.

Moi, je n'aime pas non plus quand elle a des remords, elle se renferme sur elle-même et ne me parle plus, alors je reste là, assise à la regarder toute la journée, n'osant pas la laissé seule, en attendant, en priant, pour qu'elle me parle. Je ne pars pas, je sais que quand elle est plongée dans ses pensées, elle ne voit, et n'entend pas. Elle se coupe totalement au monde extérieure. C'est presque pareil quand elle est énervée d'ailleurs, sauf qu'elle entend et qu'elle voit, mais qu'elle fait semblant qu'elle n'entend pas.

Ah ! Il y a un changement de mouvement dans les caresses, c'est plus délicat encore. Elle a finit de ressassé ses pensées, elle va peut-être enfin me dire ce qu'il se passe. Je vais devoir démaré le sujet.

*Alors petite elfe ? Quelque chose te tracasse ? Que s'est-il passé ? Vas-y, je t'écoute...*

Vadalia est arrivée avec l'humeur d'une lionne qui n'a pas mangé depuis 3 mois. Elle s'était accroupie et sa panthère est venue se couché contre elle. Ce contact avait toujours eu un effet apaisant sur l'elfe. Elle se mit à caresser machinalement Rebelle, en repensant à la scène qui s'était passé. Mais prenant soin à ne pas laissé sa panthère l'enquiquiner maintenant.

Elle se remémora le ton qu'avait employé l'inconnu. Quand elle y regarde de plus près, il n'avait pas l'air de vouloir la dénigrée en faisant cela. Elle ne pouvait se fier qu'au ton de la voix de l'inconnu, vu qu'avec l'infravision, on ne distingue que la chaleur qui émane d'un corps et donc, on ne voit pas les expressions d'un visage. Elle laisse échapper un long soupire et sort enfin de ses pensées.

Vad' continua de caresser Rebelle, doucement, laissant glisser ses doigts sur la douce fourrure du grand félin. Un petit sourire s'afficha sur son visage, puis, La panthère s'introduisit dans son esprit et lui parla comme elle l'a souvent fait. la voix grave du félin résonna longtemps dans la tête de l'elfe.

* ... J'ai encore eu ce comportement propre aux hauts elfes, ce comportement de personne susceptible*

Elle regarda en l'air et entendit un petit mouvement dans les arbres. Elle y jeta un oeil et aperçu la chauve-souris. Qui avait l'air assez émochée. Plus que tantôt en tout cas. Elle n'écouta pas la réponse de Rebelle, et heureusement pour elle, car celle-ci ne disait rien pour la calmer. la réponse était la suivante :

* Un comportement de susceptible dis-tu ? bah, alors c'est normal venant de toi, je vois pas pourquoi ça te tracasse tant...*

Vadalia se leva et grimpa dans l'arbre avec la ferme intention de soigner la chauve-souris que sa panthère avait mit dans un sale état. Toutes colères refoulées. Elle avait eu envie de s'énervé sur la petite bête alors qu'elle n'avait pas fait grand-chose, et même pas exprès. Heureusement qu'elle savait utlisé la magie ! elle lança un sort de langage animale, ce qui lui permis de parler "chauve-souris" et de comprendre.

"hey ! petite chauve-souris. Viens ! je vais pas te faire de mal, je veux juste voir où tu es blessée..."

*Bravo, Rebelle, je suppose que c'est toi qui l'a mit dans cette état ?, je t'avais juste demander de garder un oeil sur elle et voilà que tu l'attaques !*

*C'est pas moi ! Et puis, j'avais faim...*

Je n'ai, vraiment, vraiment pas envie de me jeter dans les bras de l'elfe clair. Ni de lui répondre. Y a juste Orly, qui à le droit de me parler, c'est tout ! En plus, vu dans l'état dont elle est revenue, je n'ai pas envie qu'elle se fache contre moi, elle me jeterait surment à sa panthère. Je me plaque au tronc, comme si je voulais faire parti de l'écorce. Je Ne Veux Pas, je Ne Peux Pas. Mais je ne veux pas non plus passer pour la chauve souris bornée de service. Je peux toujours lui répondre, Orly ne pourait pas m'en vouloir, et que ce que je peux faire d'autre, sinon?
"La petite chauve souris à un nom."
Fis-je d'un ton plutôt sacrastique, mais ça c'est dans ma nature. Je sais que j'aurais pu me presenter ou jouer les sociables. Mais je pense que cette phrase est asser expliqative, vus qu'il n'y a que les animaux domestiques ou les familliers qui porte des noms. Et j'aime mieux qu'on m'appel par mon nom, même par ceux qui ne le connaise pas. Je lance une nouvelle onde, je fait plus confiance à mes oreilles pour surveiller les déplacements de la panthère. La vue peut étre traitre. Les lapins n'ont pas de sonar, et ils arrivent à tomber dans les bouts de ficelle de mon Elfe, c'est bien un preuve que la vue ne sert à rien.

L'Elfe conserné rentrait au campement. Normalment, Zotz y serait, si il ne le trouvait pas en route. Il devrait déjà étre là, en train de machouiller les restes charcutés et sangoulinant d'un gros rat des camps sur l'épaule d'Orly. Même si c'était peu plaisant, l'Elfe aurait bien voulu qu'il soit là à le faire plutôt qu'on ne sait où dans la forêt. Ce n'était pas son genre de rester seul toute une nuit. Mais il pouvait très bien étre là, caché derrière un arbre, près à lui sauter à la figure, gueule ouvert, ailes et griffes tendu en avant, plus silencieux qu'une ombre et avec une face de vampire. Ca lui ressemblée déjà plus. Mais pourtant, il n'y avait aucun vampire derrière les arbres, pas un bruit d'ailes de cuir froufoutants derrière lui, aucu rat déchiqueté sur son épaule. Orly commança à s'inquiéter vraiment. Il passerait déjà au campement, y resterait un quart d'heure et partirait le chercher s'il ne viendrait pas. Et si Zotz passait après qui soit parti, il saurait qu'il faudrait l'attendre. Mettre un peu d'ordrer dans ses idées et son emploi du temps donnait souvent une impression de mieux comtrôler n'inporte quelle situation. C'étai le cas pour celle çi.

Vadalia Fixa la petite chauve-souris. Logique que celle-ci soit aussi prudente avec elle. Par contre, elle avait trouvé la réponse fort bien cherchée pour une créature dans ce genre, en plus d'être sacartisque. mais bon, la petite elfe aimait bien la nature et n'aimait pas voir la petite chauve-souris dans un état pareil.

Elle aurait pu la manger, certes, mais là, elle avait plus faim, son estomac s'était noué avec la colère, même une fois celle-ci passée, Vad' n'arrivait jamais à retrouver la faim. Ce qui n'était pas plus mal, car de toute façon elle n'avait aucune envie de manger de la chauve-souris, ç'était tout, sauf ragoûtant.

Bref, comme la chauve-souris c'était elle-même coincée en se plaquant contre le tronc.Dans une drôle de posture pour un animal du genre d'ailleurs. Elle en profita pour s'avancer en lui barrant toute possibilité de fuite. Elle prononça des paroles dans une langue bizarre, tendit la main et...

Une lumière blanche enveloppa la chauve-souris. Contrairement aux craintes de celle-ci, la petite elfe avait vraiment voulu la soigner et le sort de soin faisait petit à petit son effet. Toutes les blessures se refermèrent ne laissant aucune trace de leur passage. vadalia sourit

"Et voilà peti... euh... je ne connais toujours pas ton nom. bah, peu importe."

l'elfe sauta à terre et s'approcha de sa panthère, celle-ci s'était levé et reniflait la proie de CamaZotz avec méfiance. elle lui prit l'oreille et lui tira, le félin fit un feulement de surprise, ainsi que de douleur. Puis se recroquevilla. l'elfe sourit, satisfaite , et tourna les talons. Bientôt suivie par une masse sombre.

Il allait falloir trouver à manger, et ça ne serait pas facile, sauf si Rebelle daignait l'aider, mais cela étonnerait la jeune fille, après la petite humiliation qu'elle venait de lui faire subir. elle soupira, non, vraiment, elle aurait du accepter le lapin.

Je suis d'abord très surprise de voir ma petite elfe monter sur la branche sans plus faire attention à moi. Je le suis encore plus quand je comprends qu'elle veut soigner la chauve-souris. Et je suis complètement déstabiliser quand elle me dispute, si bien que je lui bafouille une réponse qui ma trahit.

Puis, je ne comprends plus rien à leur langage, à mon avis, elle a dû utiliser un sort ou je sais pas trop quoi , parce que je ne l'ais jamais entendu parler cette drôle de langue. Survient ensuite un des sonars de la chauve-souris qui me fait feuler de douleur, avant de me forcer à m'éloigner.

Je ne vois pas la suite, et les bourdenements incessant qui me maltraitent les oreilles m'empêchent d'entendre vraiment ce qui se passe. Je n'ai plus qu'à me chercher autre chose à faire. En balayant l'endroit du regard, je revois le petit écureil par terre, mort la nuque brisée par la chute occasionnée par l'auteur de ma douleur au niveau de mes organes auditifs.

Je m'approche et renifle avec prudence. C'est bien petit pour moi, mais c'est une proie comme une autre. Je me prépare psychologiquement à me faire à l'idée que je vais manger ce machin-là, et paf !

Une créature non-identifiée me tire l'oreille et me provoque encore plus de souffrances. je feule pour me faire impressionante, par surprise aussi je dois bien l'avouer, je me retourne , et là, je vois que c'est Vadalia ! Je me ramasse sur moi-même, je ne peux pas combattre la petite quand elle est énervée. elle s'éloigne l'air satsifaite. Je me relève, et me lèche pour essayer de regagner un peu de dignité.

Vad' s'éloigne sûrement pour chercher à manger, et n'a pas l'air de vouloir prendre le petit écureil. je le laisse donc derrière moi, et m'empresse de rejoindre la jeune elfe. N'empêche, je jure sur mon elfe, que plus jamais je ne toucherai à une chauve-souris, ça fait bien trop mal aux oreilles...

Après l'avoir vue se rapprocher encore plus de moi, si bien que ça ne me servirais même plus à rien de remonter centimétres par centimétre le long du tonc, je ne comprend plus trop ce qui se passe. Je la vois tendre une main comme sa panthère l'avait fait un peu plus tôt avec sa patte noir. Et pendant un fraction de seconde - je ne sais pas pourquoi je peux penser à ça dans des moment pareil- Mais je l'imagine bien m'aplatir contre l'arbre avec sa main. Je suis un peu beaucoup grand pour une main, mais si ça s'aurait passait comme mon imagination obtue me l'avait montrait, j'aurais éclaté de rire. Mais ça se passe pas comme ça, une sorte de lumière m'envelope comme une hora quand l'elfe claire dit quelque chose qui ne me dit rien. Je ferme les yeux, la lumière n'est pas si forte, mais je sens quand même de petits poignards s'enfonçer dans mes orbites. Mon aile trouée se met à me picoter, comme si des grains de sables tombaient doucement sur les lévres de ma bléssure. Les picotements se raproche entre eux, et la où ils sont passé la douleur n'est plus qu'une sorte de gêne qui s'estompe rapidement. Ca me rappel du brouillard, quand le soleil réaparait pour le faire disparaitre. Et les picotement partent à leurs tour.

"Et voilà peti... euh... je ne connais toujours pas ton nom. bah, peu importe."

Je rouvre les yeux, mon hora à disparut aussi, mais je vois pendant un court instant de petites taches danser devant mes yeux. L'Elfe Clair est de nouveau part terre, je n'ai pas eu le temps de la voir desendre, mais ce qui viens après m'arrache un grand sourire; elle vient d'attraper la fauve par l'oreille, ce qui n'a pas l'air de lui plaire. Moi si. Puis ils partent. J'ai envie de sauter du tronc et de les rejoindre en voletant, pour remercier l'elfe de m'avoir ~~aplatit~~ recoussue mon trou. Et aissi parceque j'ai envie d'aller rire au nez de la panthère parcequ'elle s'est fait tirer les oreilles. Mais je ne bouge pas, j'ai peur que le trou ne soit pas si recoussu que ça. J'ouvre prudammant une aile, c'est celle qui n'a rien. J'ouvre l'autre, le sang séché craque, il n'y a pas de trou. J'agite timidement mon aile. La semsation de froid quand l'air s'engoufrait dans ma blessure n'est plus là. Je m'envole dans la Nuit.

Orly tourne en rond, s'arrête de temps en temps pour lever les yeux vers le ciel et siffler. CamaZotz n'est toujours pas là. Il avait verifier si toutes ses flèches et sont arc étaient en bonne état, si jamais il aurait besoin de s'en servir. Deux flèches avaient leurs plumes à moitier detachées, Orly ne les avaient pas pris. Le quart d'heure s'achevais, il s'appretait à partir, s'inquiètant de plus en plus pour son famillier. Zotz était adroit à la chasse, il savait se défandre et n'était pas stupide. Mais il était si curieux qui irait voir si un ours avait des caries si celuit çi se plaignait d'avoir mal aux dent. Et il n'irait même pas dans sa gueule pour pour l'aider, mais juste pour s'amuser. Un froufout qu'il aurait pu reconaitre entre un milliard se detacha des autres bruits habituel de la nuit. Orly couru vers les batemants d'ailes de cuir, trouvant son faux-vampire voler vers lui. L'animal lui raconta une drôle d'histoire, avec un ecureuil mort, une panthère à l'estomac si aceuillant et une elfe qui savait faire des horas. Orly examina lontemps l'aile de Zotz, mais l'elfe l'avait bien soigné. Il se demanda si c'était la même que la Haute Elfe, la description de la Chauve Souris concordait avec la sienne. Si il la reverait, il n'oublirait pas de la remercier.

» Nuit paisible
» Dans son monde
» Un estomac dans les talons.