Un estomac dans les talons.

Vadalia avait essayer de chasser toute la nuit. Mais voilà, après la petite humiliation qu'elle avat fait subir à sa panthère, celle-ci avait décidé de lui rendre la tâche bien difficile. Dès que l'elfe trouvait un animal. Le félin se mettait à faire plein de bruits diverses pour le faire détalé.

Et ça c'était passé comme ça toute la nuit ! Maintenant, le soleil allait bientôt se montrer et réchauffé l'atmosphère avec ses rais de lumières. Et Vad' n'avait toujours rien mangé. l'estomac dans les talons, et la bonne humeur dans les tréfonds. elle s'avance d'un pas rageur vers la rivière.

Rebelle s'était éloigné il y a peu, ce qui avait eu pour effet de faire revenir les animaux. Mais, l'elfe n'arrivait jamais à avaler quoi que se soit quand elle était énervée. Elle avait donc décider de se baigner la rivière pour se détendre et ensuite elle partirait chasser.

Le soleil commençait déjà à poindre ses rayons sur l'eau de la rivière qui les refleta. La petite elfe se coucha et regarda le magnifique levé de soleil. La nuit n'avait pas été super, et elle ne s'était jamais autant énervée en si peu de temps. Mais bon, c'était déjà oublié.

Après quelques minutes, même pas, Vadalia se releva et se déshabilla en vitesse. avant de se glisser fébrillement dans l'eau froide du cours d'eau. Elle frissonna, c'était vraiment froid ! Mais une fois habituée, c'était si doux, ce contact avec l'eau. elle ferma les yeux et chantonna tranquillement. Profitant de l'instant présent.

J'avance, et j'avance encore. Puis soudain, dans un accès de colère, je fais monter un rugissement puissant de ma gorge. La rugissement retentit encore quelques temps après que j'aie fini de rugir. J'ai été horripilée par l'humiliation que mon elfe m'a faite subir. Le pire, c'est qu'elle l'a fait devant la chauve-souris !

Grrr. Je grogne, ça m'énerve ! Au moins, aurais-je eu la satisfaction de l'embêter durant toute la nuit. Je me suis bien amusée je dois dire. A chaque animal en vue, je grognais, rugissais, feulais, sautais sur des branches qui craquaient sous ma masse. Et je marchais bruyament aussi. Mais, elle aura réussit à s'énerver plus lentement que prévu. ce qui m'a énervé encore plus !

Grrr. cette chauve-souris me payera cette affront ! Je le jure ! Parlole de Rebelle la panthère ! Groar ! Je prendrais un malin plaisir à sentir mes griffes pénérées dans sa tendre chair. Ou encore, je frisonnerai de plaisir en sentant ses ors craqués sous la pression de mes puissantes mâchoires. On ne se moque pas impunément de moi !

Je me suis éloigné de la petite, j'ai faim, mais je ne veux qu'elle trouve à mangé, pas maintenant, alors, plutôt que de continuerà saliver devant des proies que je m'efforcais de faire partir. Je vais de mon côté, et ça fonctionne bien ! J'ai déjà un oiseau dans l'estomac. Mais ce n'est point suffisant pour moi.

Ca aurait plus que suffit à ma petite Vadalia, mais moi, il me faut plus, beaucoup plus. Alors je suis obligé de continuer à rôder à la recherche d'une quelconque proie. Peu importe sur quoi je tombe, j'ai si faim que je mangerai n'importe quoi ! Sauf vadalia. Même si en dispute avec elle, ça reste MON elfe à moi et jamais je ne la toucherais pour lui faire du mal, je n'oserais pas.

J'en ais marre, mes coussinets me font souffrir. je m'arrête et me couche. J'entends mon estomac qui gargouille, comme pour essayer de me stimuler, mais je n'en peux plus. Il faut que je fasse une pause, ma faim attendra.

Mon elfe avait tenu à changer d'endroit pour notre petit campement. Il cherche toujours à s'éloigner des village ou des autres elfes. Il est comme, ça, il aime étre seul. Mais cette fois je suis entièrement d'accore avec lui, je veux mettre le plus d'espace entre la panthère de cette nuit et moi. Même si je suis guéris, je peux voler pleinement et sans problème, elle a faillit m'avoir une fois, je ne veux pas prendre de risque de ce côté en la recroisant. On a choisis d'aller près de l'eau, sans non plus aller au bords. Les rivières attirent des tas de bestioles qui y viennent y boire. Mais surtout, je sais que les chats n'aiment pas se mouiller. Les panthères, je sais pas, mais y a déjà les chats. Comme il fait jour, mes yeux sont clos, ce qui doit me donner un air endormi. Mais j'étais on ne peux plus luicide, touts les sens en éveils, sauf la vue bien sur. Je suis occupé à lisser mes ailes quand on commençe à s'approcher du l'eau, dont on entent le bruit. Je claque des machoires, ce soir, çe sera la fête! Il y a toujours des moustiques près des point d'eau, et qui dit moustiques dit chauve souris. Je ne mange pas d'insctes, trop petits, trop dégoutant. Mais je sais que quand il y en a, les chauve souris insectivors viennent aussi, et c'est elles qui je mange. Tu ne peux pas me traiter de cannibal, elles et moi ne somme pas de la même race, c'est comme si un faucon tuait un moineau. J'en ai marre de rester sur une épaule, je doit me dégourdir les ailes. Sans prevenir, je saute et remonte vers le ciel. J'entend Orly qui me cri qu'on se retrouve un peu avant midi, à la rivière.

Orly s'arreta un instant pour regarder CamaZotz disparaitre rapidement dans la fôret, surment pour aller chasser. Puis l'elfe repart, se dirigeant au bruit de l'eau. Il s'instalera là bas pour quelques jours, et repartirait. Il n'aimait pas étre quelque part en sachant qu'un(e) autre elfe se trouvait dans les environs, il était très bien seul, avec son vampire. Ca avait toujours était comme ça, une vie plus ou moins nomade, reculé de tous. Et il n'y avait pas de raison pour que ça change. Il avait encore environ mille ans devant lui, s'il ne lui arrivait rien entre temps. Bien sur, il devait decendre quand même à la ville, pour trouver une dague neuve après que Zotz est caché l'autre juste parcequ'il était de mauvaise humeur. Et il n'avait pas de quoi l'acheter, alors fallait ventre quelque chose, souvent des proies qu'il devait tuer sans couteau, qu'avec des flèches qu'il perdait une fois sur dix, et devait en racheter après, mais n'avait pas d'argent, alors etc... Orly finissait souvent par menacer Zotz de le vendre, mais ça se finissait toujours bien. Parce que l'elfe et la chauve souris savait voler, au sens propre et figuré pour cette dernière. Il arriva en vue de la Rivière. Orly entendit alors un chant, ce qui était asser etrange la matin, près d'un endroi perdu. Il s'approcha...

Vadalia avait continuer à chanter pendant un bon moment avant de s'arrêter et se s'immerger complètement dans l'eau. Pour mouiller ses cheveux, mais aussi son visage. Et un peu pour s'amuser. elle sortit quand même bien vite la tête de l'eau, et de recommencer à chanter tranquillement. Se croyant seule.

Tout en chantonnant, elle se plongea dans ses souvenirs d'enfance. Elle repensa au moment qu'elle passait avec sa mère, et aussi l'inquiètude qu'elle lui faisait subir à force de partir sans prévenir et de revenir à des heures peu convenable, voire, ne revenir que le lendemain. Maintenant, elle ne causerait plus jamais d'ennuis à sa mère...

Soudain, un bruit de pas, très discret, se fit entendre. Au début, vad' pensa que c'était un animal qui s'approchait pour boire. Puis, en y faisant plus attention, elle pouvait remarquer que la cadence de pas n'était pas celle d'un animal quadrupède. hors, dans cette forêt, elle n'avait encore jamais vu d'animal bipède sauf... l'elfe de cette nuit, et encore, on ne pouvait pas dire que c'était un animal.

Elle n'avait pas arrêter de chanter, à aucun moment. Le fait qu'elle chante l' afit réagir un peu moins vite. Puis quand elle réalisa ce qu'elle venait de découvrir. Elle ne arrêta de chanter, et, n'ayant pas le temps de se rhabiller avant que l'inconnu ne rapplique. elle contenta de se placer dos à
L'endroit qu'elle supposa par lequel il arriverait. Ensuite, elle se ferait un plaisir de le traiter de voyeur ! Son chant se faissait de plus en plus bas à force qu'elle l'entendait se rapprocher.

L'Elfe de la Nuit continua d'avançer vers la Rivière et de la où semblait venir le chant, qui se faisais d'ailleurs de plus en plus faible. Il ne savait même pas pourquoi il marchait là bas, il marchait, c'est tout. Il voyait la Rivière, courant silencieusemant sur son lit rocailleux. Ecatant les branches des derniers arbres, il sorti du courvert de la forêt. La Rivière était là, dégoulinante et humide. Le soleil était comme posé sur l'horison, grosse boule lumineuse et rougeaude, chauffant l'air matinal de ses premiers rayons dorés. Et dans l'eau... Dans l'eau il y avait quelqu'un, qui tournait le dos à Orly. La personne avait des cheveux blond et une peau très clair, comme celle des humains d'ici. Y parait qu'il existait aussi des humains à la peau plus fonçé, presque noir, mais pas vraiment comme les Drows. Le baigneur avait des oreilles fines et pointue, c'était donc un elfe. Et bien que musclé, il avait des trais plus fins que ce d'Orly; c'était une elfe dans la rivière. Il sentit malgré lui le feu lui monter aux joues. Pourquoi, quand il entendait quelqu'un chanter, fallait-il qu'il aille voir? Peut étre avait-il le temps de partir, sans que l'elfe ne s'aperçoive de sa présence?

Je vois un gros machin tout noir, comme une tache d'ombres, étendu sur le sol forestier. Battant de l'aile un peu plus fort, je ralantis mon vol pour voir ce que c'est. Faire du sur place est éprouvant. J'entent un gargouillit à moitier étouffé, on aurait presque dit qu'il venait de l'interieur de la masse sombre et inerte. C'était possible?

Malheureusement pour Orly, ça faisait déjà un moment que Vadalia avait remarqué sa présence. Elle l'entendit encore se rapprocher puis, s'arrêter. Elle se dit qu'il devait être tout près, maintenant. Limite , elle n'oserait pas se retourner. Mais c'était mal la connaitre que de penser qu'elle ne se retournerait pas.

pas contre, elle réfléchissait à comment aborder le sujet du "Va-t-en!". A force de laisser sa main être portée par le courant, celle-ci se referma sur une petite pierre, qui faisait quand même facilement la taille d'un GSM (drôle de comparaison x]). Elle sourit, pauvre elfe, il allait se ramasser une pierre en plaine figure !

Bien, maintenant, fallait le faire partir. Elle se retourna vivement et lui balança la pierre, celle-ci toucha sa cible sur le haut du front. La petite elfe avait accompagné son geste d'un " SALE PERVERS !". Et après tout, qui, à part un pervers, viendrait regarder une jeune fille se baigner ?!

Voilà déjà un petit moment que je suis entrain de me reposer rouler en boule, les yeux fermer, mon ventre fait un gargouilli un peu étouffer par le fait que je sois cette position. Soudain, j'entends un battement d'ailes, mais attention ! Pas 'importe quel battement d'ailes ! Un battement d'ailes de cuir qui ne peut apartenir qu'à une seule sorte d'animal, LE battement d'ailes qui n'appartient qu'à une seule bestiole que j'ai déjà recontrée, pour mon plus grand malheur.

J'ouvre mes grand yeux d'ambres, et soulève ma tête déformée par un rictus de colère. Je me relève d'un bond, l'échine hérissée, babines retroussées, crocs dévoilées, et griffes sorties. C'est la chauve-souris de cette nuit qui est encore dans les environs, sûrement entrain de me narguer, pendue la tête en bas sur la cime d'un arbre.

Je scrute les environs de mon regard perçant et je n'ai pas de difficulté à trouver ce que je cherche. C'est qu'elle ne se cache même pas ! Je grogne férocement. Mais soudain, j'entends un cris. Enfin, d'ici, je n'entends qu'un mumure, mais je suis assez intelligente que pour comprendre que c'est MON elfe qui à hurlé, et comme elle est loin de moi en ce moment...

Mon Dieu ! Elle est loin et peut-être en danger ! Il faut que je me dépêche ! Je jette un regard assassin à la chauve-souris, un regard qui semble dire "tu ne payes rien pour attendre !". Puis je m'élance dans un bond spectaculaire en direction du cri que j'ai entendu. j'espère que rien de grave n'est arrivé, et que si elle est réellement en danger, j'arriverai à temps. Quoi que, connaissant Vad', il y a des chances pour que je ne pense pas exactement ce qui se passe vraiment... pfff ces elfes, j'vous jure !

La grosse forme m'est terriblement famillière, mais je n'arrive pas à mettre un nom dessus jusqu'à que deux yeux ambrés s'ouvrent. Des yeux qui me jete un regard asser féroce pour que je sente ma crinière de fourrure noir se herriser. Puis aussi vite qu'un echo, la panthère est sur ses pattes après m'avoir grogné et lancé un nouveau regard qui n'est pas pour me faire plaisir. Et la voilà partie, aussi rapide qu'un lapin qui à vue une chauve souris qui peut le mettre facilement à son menu. J'ai entendu aussi les cris, mes oreilles sont sensible à n'importe quel son, sauf ce que je connais pas, car je ne peux pas les entendres. Ces cris ne me dise rien, je ne m'en preoccupe pas, mais la panthère a filée dans leurs direction. Je la suis, volant à son hauteur car ça mamuse. Si je pourais, j'essayerais de lui arracher quelques touffes de ses poil noir, ce n'est pas une vengence digne de ce nom, surtout pour moi, mais c'est aussi pour voir ce qu'elle en pensera.

Orly se prit donc la pierre en plein milieux du front. Le brusque geste de elfe l'avait fait sursauté, il aurait cru pouvoir partir sans qu'on le remarque et aller un peu plus en amon du cour d'eau. La douleur le fit chanceler un instant, tibutant comme s'il avait été ivre. Il recula de quelques pas, avant de gagner les arbres en se retournant. Orly ne s'était pas attendu à ça, l'elfe avait du savoir qu'il était là dés le début, vu la façon donc tout s'était passé pour elle. Il s'aigné un peu là où la pierre l'avait frappé; elle l'avait lancé plutôt fort. Il courut, s'eloignant de la Rivière, ouis s'arrêta, sinon, Zotz ne le retrouverait pas s'il ne savait pas vers où il était.

Je cours. Je n’ai pas réfléchi beaucoup plus loin que le bout de mon museau avant de m’élancer pour essayer de recouvrer la trace de Vadalia et lui venir en aide. Et je dois dire que je n’y réfléchis pas beaucoup plus maintenant. Je suis affreusement inquiète à l’idée qu’il ait pu lui arriver quelque chose de grave. Malgré sa magie, elle n’est pas apte à se défendre seule contre des créatures puissantes, même quand je suis en sa compagnie d’ailleurs, mais quand je suis là, au moins, je peux la raisonner à temps et lui demander de partir, mais si c’est fort peu honorable comme geste. L’important avant l’honneur, c’est quand même de rester en vie !

Je saute au dessus d’un tronc d’arbre mort, et continue ma course effrénée. J’en ais marre, j’entends ses battements d’ailes depuis tantôt, Elle me suite, cette sale chauve-souris. Je me demande se qui me retiens de me retourner sauvagement et de lui flanqué un bon coup de patte bien puissant qui l’enverrait valdinguer contre un tronc d’arbre, d’où elle tomberait dans une profonde inconscience du au choc, voire , à mourir si c’était sa tête qui servait d’amortisseur. Mais il me semble que la situation de mon elfe peut peut-être être pire que cela.

Je fait un beau zig-zag pour éviter l’arbre qui se dresse juste devant moi. J’entends le clapotis de la rivière depuis un moment, malgré le bruissement des feuilles mortes sous mes coussinets. Mes pattes s’enfoncent profondément, la terre est fort humide, je me rapproche du cours d’eau, tout semble l’indiqué. Je fais un nouveau bond plein d’élégance et atterri avec grâce et là, je vois ma petite elfe, habillée, les cheveux trempé, à côté d’un petit feu qui snet la magie .Mais ce que je remarque surtout, c’est l’espression de vad’, elle avait la fureur dans l’œil.

Après s’être retournée rageusement pour balancer son insulte et sa phrase à la gu**le du voyeur quelque peu dérangeant. Et l’avoir vu fuir, tout en se disant qu’elle trouvait sa silhouette quelque peu familière. Tout en ne l’ayant jamais vu de sa vie. Elle sortit de l’eau, de nouveau énervée. Ben oui, soit on est gêné à mourir, soit on s’énerve super fort dans ce genre de situation. Et bon, voilà, pas de chance pour la jeune elfe, elle était de nouveau énervée.

Elle se contenta d’essorer ses longs cheveux blonds. Puis, d’un claquement de doigts elle créa un feu , elle ne s’en servi pas vraiment, c’était juste pour avoir un peu de chaleur après s’être baignée ainsi dans une rivière glacée. Elle s’habilla en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Et s’assit près du feu, et fixa sa belle flamme rouge et jaune à la base vaciller lentement selon les caprices de la douce brise matinale. Elle espérait pouvoir se calmer, mais, elle n’y arriva pas avant d’entendre un bruit étouffé de course, et des petits battements d’ailes.

Soudainement, elle aperçu une masse sombre qui sauta par-dessus les fourrées, elle la reconnu tout de suite à sa grâce naturelle, sa force, et surtout, sa belle tête ébène et son regard ambré. La silhouette noire de jais s’avança vers elle d’un pas léger, l’interrogeant du regard

*Petite elfe, je t’ai entendu crier, que c’est-il donc passé ?*

*Un sale voyeur est venu pendant que je me baignais dans la rivière.*

*ah. Attend un peu que je mette la patte dessus ! Il va savoir ce que ça fait de regarder Mon elfe ! *

**Il s’est déjà prit une pierre dans le front*

*ah ?! Bien, ce n’est que justice ! Bon, comme tu n’as rien de grave, je vais régler un petit problème qui me trotte dans la tête et qui me poursuit depuis un moment déjà*

Sur ces mots, la panthère se retourne, crocs à découvert, et fait face à la chauve-souris qui l’a suivit jusque-là.

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